WHD 2013

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Tuesday, March 19, 2013

Livelihood interventions save lives and strenghten resilience


By José Luis FERNANDEZ
Senior Regional Emergency Coordinator
FAO’s Sub-regional Emergency and Rehabilitation Office - West Africa/Sahel
FAO Representative Senegal a.i.

The frequency, complexity and scale of crises affecting food and agriculture make it increasingly difficult for smallholder producers to cope and recover each time. That is why disaster risk reduction and resilience – from protecting and strengthening sustainable livelihood systems to bolstering monitoring and early warning to developing institutional capacity to manage risks – figure so prominently in FAO’s strategies and programmes. To build a world without hunger, we need to ensure that vulnerable farmers, fishers, foresters and other at-risk groups are better able to withstand and bounce back from these shocks so they can provide for themselves and their families.

FAO’s first priority is to help crisis-affected farming families – many of whom have lost all of their productive assets such as seeds and livestock – produce their own food and rebuild their lives and livelihoods as quickly as possible. At the same time, FAO’s emergency assistance increasingly supports and feeds into longer-term efforts to reduce risks due to multiple hazards.

 For 2013, FAO is requesting a total of USD 135.3 million for livelihood interventions in the Sahel. To start the operations for the main agricultural campaign (May – October 2013), USD 99 million are immediately required. We need urgent assistance to support vulnerable people in need.

Please visit our website www.fao.org/crisis/sahel/the-sahel-crisis/en/

Friday, February 15, 2013

L’OIM au secours de migrants tchadiens en détresse expulsés de Libye

Par l´Organisation Internationale pour les migrations (OIM)


Tchad – L’OIM a distribué de la nourriture, de l’eau et des médicaments à un groupe de 32 migrants tchadiens arrivés la semaine dernière au bureau de l’OIM à Faya-Largeau, dans une région reculée au nord du Tchad, après avoir été expulsés de Libye.

Credit: OIM

Depuis juillet dernier, trois groupes de migrants tchadiens ont été expulsés de Libye. Plus de 150 000 travailleurs migrants tchadiens avaient déjà quitté le pays en 2011, après le renversement du régime précédent.

Epuisés et malades, les membres du groupe, tous des hommes, ont expliqué à l’OIM qu’ils travaillaient dans différents endroits en Libye, occupant généralement des emplois temporaires peu et non qualifiés. Ils ont dit qu’ils avaient été détenus, et certains ont affirmé avoir été maltraités.

Ils ont déclaré que par le passé, en tant que ressortissants tchadiens, ils n’avaient pas besoin de documents pour vivre en Libye. Mais, aujourd’hui, les autorités libyennes ont commencé à exiger des documents et ont fermé les frontières avec le Tchad, le Niger et le Soudan. La plupart des membres du groupe ont été arrêtés parce qu’ils n’avaient pas de permis de travail.

Mahamat Zene Issa a raconté à l’OIM qu’avant le déclenchement de la crise, il vivait depuis cinq ans avec sa famille, composée de trois personnes, à Sebha, une ville au sud de la Libye. Sa famille avait pu rentrer au Tchad avec un convoi d’évacuation de l’OIM, mais lui a décidé de rester en Libye pour continuer à y travailler.